C’est une grande joie d’accueillir pour la première fois Bertrand Belin, artiste parmi les plus talentueux de la scène française.
Être au monde. Comment se fait-on à l’idée d’être ici-bas, soumis aux aléas d’une existence plus surprenante que nous ? Être au monde, flanqué d’une altérité avec laquelle on doit composer, pour le meilleur et pour le pire.
C’est ce que raconte avec malice Bertrand Belin dans ses nouvelles compositions. Antidote à nos angoisses, nos solitudes, mixture hybride de pop francophone incitant à l’ivresse des sens. Remède à la banalité actuelle, car refusant toutes contraintes. De la liberté, il y en a toujours depuis le premier album de Bertrand Belin, en 2005. Mais ici, la liberté irradie comme dépourvue de filtres, ignorant les coquetteries et le brouillard actuel, et le résultat sur scène est absolument magique.
Quelques accords avant les mots, les disques avant les livres, qui ont depuis confirmé son talent pour embrasser avec nuance, humour et profondeur les questions politiques, intimes ou sociales, comme un refus du prêt-à-penser. Télérama
Tambour vision, 7è album du chanteur quiberonnais, beau et bouleversant. Libération
La presse en parle